J’ai la chance en ce moment de beaucoup pratiquer, à un point que je passe plus de temps en néoprène que dans des vêtements secs. Et encore la saison professionnelle n’a pas encore vraiment commencé, J’appréhende et je me langui en même temps d’ailleurs.
Ces derniers temps j’ai été quasiment tous les jours dans l’eau avec souvent plusieurs canyons au programme. J’ai fait du repérage pour les encadrements cet été, j’ai parcouru des vallons nouveaux pour moi, amené des amis et même fait un peu de prospection.
Coté encadrement, je sonde les bassins, je règle mes longueurs de cordes, je checke de nouvelles manips qui vont bien, je cherche les tobogg qui font et les passages sous blocs marrant. A rajouter des encadrements avec mon tuteur pour voir les ficelles du métier. Cette semaine ça va aller un peu plus loin avec la suite des formalités administratives 🙂
coté cochages de bouses (oups on dit vallon sauvage maintenant), j’ai mis pleins de nouveaux vallons dans ma longue liste (qu’il faudra que je mette à jour d’ailleurs). J’ai cherché de nouveaux accès plus pratique, vu pleins d’animaux et pris du plaisir. Parce que oui, on peut se faire plaisir à « bouser ». Pourquoi d’ailleurs?: Parce qu’une fois qu’on est allé au delà du coté sportif du canyon ;le coté sportif étant vite atteint, le canyonisme étant une activité facile d’accès mais avec de vrai risques d’accident; il faut chercher son plaisir ailleurs, pour certains c’est les manips, pour d’autres comme moi c’est le plaisir d’être là, observer, balader et découvrir. Un peu comme faire une randonnée avec les pieds dans l’eau et une corde de temps en temps.
En prospection, j’ai déniché un vallon vers Entrevaux déjà parcouru de longue date par les locaux par les rives, ce sera l’occasion d’un article spécifique.
Conclusion, le canyon c’est cool, il y a pleins de façons de le vivre, mangez en.
meyères
berthéou
farnet
cramassouri
monar aval
medecine
fenouillet
pellegrin
ribière
méoucédonc?? la grande cascade qui crache bien et le reste; tu nous mets des légendes?
Grand bouseur devant l’éternel, je plébiscite le vallon sauvage. Dorénavant je suis un sauvageon vallonneur.