Prendre le temps de regarder, voir, sentir, ressentir fait partie de nos vies mais on a tendance à l’oublier.
Pourtant rien n’empêche de s’émerveiller de tout et de rien en même temps. Qu’on soit sur la route du travail, depuis la fenêtre de chez soi ou en balade, chaque prétexte est bon pour ouvrir les yeux.
Milieu de journée en canyon, un simple crapaud se repose après sa nuit de chasse. Bientôt l’hiver va venir et il ira s’enterrer jusqu’au printemps prochain.
Le cadre de travail est plutôt sympa quand on est moniteur de canyon, des fois on oublie qu’on a de la chance, mais ça dure pas longtemps avant de savourer de nouveau.
Le soir après le lavage des combinaisons et les coups de téléphone vient le temps de la photographie. Les heures d’or donnent toujours de belles occasions de balader.
Promener le quatre pattes est aussi une occasion pour se rééduquer le pied post fracture. Un canal bien plat et régulier quoi de mieux?
Même si très vite l’envie de bartasser reprend le dessus.
La tombée du jour correspond aussi à la sortie des animaux de la nuit.
Derniers instants des heures d’or
Il suffit de tourner la tête pour profiter de l’heure bleu maintenant.
Puis vient le temps de poser le trépied et regarder le ciel bouger au ralenti.
Avant un nouveau jour.
Guigui, c’est toujours avec la même bonté que tu partages tes émotions des beautés qui nous entourent et que tu sais apprécier à leur juste valeur, sans jamais les oublier, même loin de tes collines rouges des bords du Var! Baïeta. BOUSTOUrou
De très beaux instantanés … merci pour ces quelques secondes de waou et ho
Effectivement tout nous entoure il suffit a chacune et chacun de percevoir, c’est juste à portée
[…] un havre de solitude qui se mérite. Dans ce bastion, on a skié la Frema, les couloirs de Pelens, le pas Roubinous, les Fourcheires, le saint Honnorat, Mourre Frey et le grand Coyer. Il me reste […]